Pas besoin d'être un Professeur de Maths pour se rendre compte qu'entre le 6 février 2019 (date de la signature de l'accord de Khartum à Bangui) et le 22 mai 2019), on compte plus de 3 mois.
L'accord d'Addis-Abeba était la conséquence du non-respect de celui de Khartoum par le gouvernement. Ce qui a entraîné la formation d'un deuxième gouvernement dans lequel des criminels ont été intégrés suite à leur cri conformément à l'engagement du gouvernement qui consiste à mettre en place un gouvernement inclusif. Les différents groupes ont également dès le départ violé l'accord de Khartoum puisqu'il était question de DISSOUDRE TOUS LES GROUPES ARMÉS et NE PLUS FAIRE RECOURS À LA VIOLENCE.
On assiste à un silence total de la part de la communauté internationale, de l'union africaine et d'autres acteurs qui jouaient les pseudos intermédiaires à Khartoum.
Le gouvernement et tous les acteurs de cet accord de Khartoum seront tenus responsables du crime commis contre le peuple centrafricain.
Intervention du président de Génération Douée Centrafrique dans l'émission Surface de vérités de Mr. Aubin GUEBRE
Entretien Du Jour présenté par M. Hamed PARAISO
L'accord de paix paraphé à Khartoum et signé à Bangui le 6 février n'est pas au dessus de notre CONSTITUTION. Le Président de la République a bel et bien violé la constitution sans la moindre réaction de nos parlementaires.
Que fait Mme Sylvie BAIPO TEMON face à la violation de la présomption d'innocence !