Quand il partait à Berberati ce 29 mars 1959 pour présenter à ses compatriotes le nouveau drapeau de la République Centrafricaine et la Renaissance (notre hymne national), Barthélémy BOGANDA, premier Président de la République Centrafricaine ne se doutait pas une seule seconde qu'il ne reviendra pas vivant et qu'il laisserait un vide que ces successeurs ont volontairement fait le choix de ne pas le combler.
Celles et ceux qui l'avaient côtoyé et qui ont eu l'opportunité :
Ont fait de par leur comportement le choix volontaire de le priver :
Le principe de la République selon le père de l'indépendance centrafricaine était : le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple. Article 19 de la constitution.
Intervention du président de Génération Douée Centrafrique dans l'émission Surface de vérités de Mr. Aubin GUEBRE
Entretien Du Jour présenté par M. Hamed PARAISO
Un accord signé sans le représentant du peuple lui a été exposé comme étant l'accord de paix. Le constat est encore très sanglant aujourd'hui.
L'accord de paix paraphé à Khartoum et signé à Bangui le 6 février n'est pas au dessus de notre CONSTITUTION. Le Président de la République a bel et bien violé la constitution sans la moindre réaction de nos parlementaires.