Lors des discussions avec les différents groupes armés à Khartoum, l'un des principaux bourreaux du peuple centrafricain, le porte-parole d'une des factions rebelles (FPRC) qui avait demandé publiquement lors d'une interview en 2013, la partition de notre chère NATION LA RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE aurait déclaré ceci : "l'amnistie n'est pas une insulte aux victimes".
Nous attendons d'avoir un retour complet sur leurs revendications avant de vous faire notre analyse.
Intervention du président de Génération Douée Centrafrique dans l'émission Surface de vérités de Mr. Aubin GUEBRE
Entretien Du Jour présenté par M. Hamed PARAISO
Un accord signé sans le représentant du peuple lui a été exposé comme étant l'accord de paix. Le constat est encore très sanglant aujourd'hui.
L'accord de paix paraphé à Khartoum et signé à Bangui le 6 février n'est pas au dessus de notre CONSTITUTION. Le Président de la République a bel et bien violé la constitution sans la moindre réaction de nos parlementaires.